La chronique de la lecture feel-good
SALUT À TOUS LES AMATEURS DE BONNES VIBRATIONS LITTÉRAIRES !
Prêts pour une nouvelle aventure littéraire et médiatique positive ?
Tout d’abord, je tiens à remercier Floriane Damevin et son équipe de choc de m’avoir permis de réaliser un rêve d’enfant. 
Merci, Merci, Merci!
Merci, Merci, Merci!D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les livres et j’ai toujours été la seule de ma famille à traîner des heures et des heures dans les bibliothèques et les librairies.
Je souffre d’un syndrome que les Japonais appellent
tsundoku.Traduit par « empiler » et « lire », il décrit le fait d’acquérir des lectures qui s’empilent ensuite à la maison sans être lues immédiatement.
C’est d’autant plus d’actualité que je suis en train d’apprendre le japonais, ce qui me permet de m’immerger totalement dans cette langue, qui décrit parfaitement plusieurs de mes passions, comme ma quête de mon ikigai (« ce pour quoi il vaut la peine de vivre » ou simplement « raison d’être ») ou mon amour pour les chats (le maneki-neko, le « chat qui fait coucou », est un porte-bonheur omniprésent au Japon, censé apporter la prospérité et éloigner le malheur).
Mais revenons à la chronique, ce pour quoi je suis d’ailleurs ici. Vous remarquerez que lorsqu’il s’agit de mes passions, j’ai tendance à m’égarer.
Aujourd’hui, j’ai choisi de vous parler de la BIBLIOTHÉRAPIE.
LE BONHEUR EST DANS LES LIVRES
Lors de mon séjour en Normandie le week-end dernier, j’ai acheté le magazine FLOW (déjà parce qu’il coûte presque deux fois moins cher en France qu’en Suisse). Je ne sais pas si vous le connaissez ; c’est un magazine de la créativité et de l’épanouissement de soi et je l’achète de temps en temps quand son contenu m’inspire.
L’article sur la bibliothérapie m’a bien sûr automatiquement attirée et le sous-titre m’a déjà beaucoup intriguée :
En faisant écho à notre histoire, les livres nous permettent de mieux nous comprendre, de mieux appréhender nos émotions et de stimuler notre réflexion. A travers la lecture d’extraits choisis et la tenue d’un journal en images, la bibliothérapie créative offre un véritable espace de développement personnel.
L’auteure de l’article, Sabine Laguionie, raconte son expérience de participation à un atelier de bibliothérapie au Havre (par hasard ou par chance pour moi, une ville en Normandie).
Sabine est l’une des quatre participantes qui souhaitent, grâce à la bibliothérapie, donner plus de créativité à la lecture, retrouver le plaisir de se plonger dans un roman, élargir ses horizons littéraires et apprendre comment savourer les mots.
La lecture pour aller mieux ? Je signe tout de suite ! – écrit-elle.
Et moi aussi !
MAIS QU’EST-CE QUE LA BIBLIOTHÉRAPIE AU JUSTE?
L’auteure la décrit comme suit : Cette pratique thérapeutique, qui utilise la lecture de livres à des fins de réflexion, mais aussi de guérison et de développement personnel, a été initiée pendant la Première Guerre mondiale par une bibliothécaire américaine qui s’occupait de soldats blessés. Ils choisissent un texte qui correspond aux besoins des participants et la lecture sert de base aux discussions et à l’exploration des émotions et des problèmes personnels. La bibliothérapie peut également être pratiquée de manière autonome : Le lecteur choisit sa lecture en fonction de ses besoins et de ses intérêts. La bibliothérapie créative combine les avantages de la lecture avec ceux de l’écriture et/ou des arts visuels tels que le dessin, le collage, etc.
Je ne vous dévoilerai pas ici le déroulement exact de cet atelier de bibliothérapie je vous conseille de lire l’article ou de jeter un coup d’œil sur le site Flowcreatif.fr. La bibliothérapie peut se faire seul ou en groupe et avec n’importe quel livre que vous aimez grâce à son langage, son contenu ou la belle sensation qu’il provoque en vous.
je vous conseille de lire l’article ou de jeter un coup d’œil sur le site Flowcreatif.fr. La bibliothérapie peut se faire seul ou en groupe et avec n’importe quel livre que vous aimez grâce à son langage, son contenu ou la belle sensation qu’il provoque en vous.Tout comme l’auteure de l’article, je vous recommande de réserver chaque jour dans votre quotidien un moment pour les petits bonheurs simples : lire quelques pages, tenir un journal de gratitude, savourer en conscience un bon thé ou café , prendre un bain, faire quelques pas conscients dans la nature, câliner en conscience vos enfants, votre animal de compagnie (ou en leur absence votre mari) ou écouter une musique qui vous apporte de la joie.
ou café 
, prendre un bain, faire quelques pas conscients dans la nature, câliner en conscience vos enfants, votre animal de compagnie (ou en leur absence votre mari
) ou écouter une musique qui vous apporte de la joie.Pour ma part, faute à tête dans le guidon, je fais cela bien trop rarement, c’est pourquoi je suis infiniment reconnaissante de cette occasion de lire et d’écrire que me donnent Floriane Damevin & Co. De cette manière, ma motivation est encore plus grande pour m’asseoir vraiment en conscience et m’adonner à ma passion. J’espère que cette passion s’est infiltrée chez vous à travers cette chronique et je me réjouis de tous vos commentaires et questions.
Et surtout, n’hésitez pas à partager vos propres découvertes de lecture positive dans les commentaires. Ensemble, faisons de cette communauté une source inépuisable de bonheur littéraire et médiatique !
Si tu as envie de rejoindre un groupe pour cultiver ton Bonheur pro & perso, c’est par ici : Si tu as besoin d’aide pour évoluer sur un point précis, réserve une SOS (Séance Orientation Stratégique) offerte avec Valérie.A la semaine prochaine! Gros becs
Vovonne Homestyleuse et Semeuse de Bonheur
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